jeudi 2 août 2012

Le rêve de l'Aborigène .



Tout ça, sa c'est écider sur un coup de tête. Stephan, Philippe et Martin m'ont proposer de venir. Un festival, si je peut appeler cela comme sa, de 3 jours. Cette année sa c'est passer le 20 21 22 juillet à Airvault (79). C'était la première fois que j'y allais. La première fois que j'y allais avec 3 gars super, et que pour la première fois je me retrouvais "libre" sans copain.
Évidement de l'appréhension, moi qui ne ne suis pas super bien dans mes basket quand je me retrouve dans un endroit inconnue c'était inévitable. Mais tout cela à vite disparue. La seule chose que je regrette c'est surement le fait que Le rêve, n'est durer que 3 jours. J'y serais bien rester, oh oui, je mis serais plu!

En gros Le rêve de l'Aborigène, c'est quoi?
Je vais vous faire un résumer de ce que moi j'en pense, et de ce que j'en est penser.
Le rêve de l'Aborigène, c'est tout d'abord un festival ou chaque générations se confond. Des couches culottes en passant par l'âge bête, les adultes, parents, grands-parents, un festival de partage ainsi que de respect de l'autre. Un endroit ou l'alcool y est interdit, et sincèrement c'est agréable d'être dans un endroit ou personnes ne se torche la gueule. Par ce que les "Apéros!?!" à tout bout de champs c'est chiant... Alors que là bas la seul chose qui faisait tourner la tête des gens c'était le Tchaï. Ce thé aux épices, ce fut un vraie délice. Ce qu'il y a de bien là bas aussi, c'est que toute la journée il y a de la musique, que cela soit sur la "scène libre", ou des artistes peuvent nous faire découvrir leurs univers musical ou que cela soit sur la grande scène, ou des groupes un peu plus connue nous délecte de leurs instrument et voix. Et puis faire la navette entre camping-festival, si l'envie nous prenait de le faire 15 fois dans la journée rien ne nous en empêchai ! Car oui, dans la plupart des autres fesival, lorsque tu quitte le camping pour aller sur le site c'est sortie DEFINITIVE. Donc si tu n'a pas prit ton duvet pour ne pas avoir froid devant un son, ben c'est tant pis pour toi. Alors que là bas, un aller retour pouvait se faire à toutes secondes. Il faut dire aussi que toute la journer le site bouge. Il y a les vendeurs, de didgeridoo, d'instruments en tout genre, de vêtement, bijoux, accessoires de jonglage etc.. Mais aussi un peu de théatre, et spectacles. Il y a les restaurateurs, avec principalement de la nourriture végétarienne et végétalienne, ce qui ne m'a pas déplu du tout. Ne pas sentir des effluves de cadavres mais plutôt de bonne odeur d'épices, de pain et de légumes un peu partout c'était beaucoup mieux.
Ah et puis le site, là bas, c'est grand. Il y avait en plus un temps superbe, qui auras eu le don de me cramer les épaules, MAIS il faisait beau et c'était bien. J'étais bien, les gars aussi.
Et puis le soir, après les concerts, on s’installait dans une yourte et un conteur nous contais des histoires. De jolie histoires, même que ce conteur à la fin, il n'avait plus de voix, et que pour le dernier soir nous avons eu le droit à deux dernière histoires.
Si l'année prochaine Le rêve de l'Aborigène reviens, j'en serais heureuse d'y revenir.




C'etait magique!

Le rêve de l'Aborigène, c'est le rêve que l'on vie éveiller.

 

 


2 commentaires:

B. a dit…

Je connaissais pas, ça devait être sympa ! (:

B. a dit…

Merci C: <3